2013-05-01
Marie-Andrée Chouinard
Venus au pays pour répondre à des demandes, de nombreux travailleurs à statut précaire se sentent trahis.
Quand il a été recruté l’an dernier à Tunis par une entreprise du Québec pour travailler en soudure à Plessisville, Maher Bédoui n’a pas hésité longtemps. « J’ai envoyé mon CV, j’ai passé le test. » Travailleur qualifié temporaire, avec expérience professionnelle et études, le Tunisien se voyait promettre un statut rattaché à un permis d’emploi d’une durée de trois ans, et puis après, l’espoir d’une résidence… Alléchant.
Le Devoir
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Quebec, Fédéral et National relevance
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