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Migrant Workers Rights Network (MWRN) is a non-profit, non-governmental organization that strives to connect advocates of migrant workers through an open, moderated network (including migrant workers, unionists, researchers, journalists, community agencies, policy analysts, and parliamentary representatives).

MWRN’s mission is firstly to centralize and distribute crucial information for the purpose of supporting, on a local, national, and international level, the fundamental rights of those admitted as guestworkers through temporary foreign worker programs, through the ability to change one’s employer, to live with one’s children or partner, and to apply for permanent residence.

The mission of MWRN is also to influence political decision-making (if necessary, by means of legal and administrative challenges to those policies amounting to modern day slavery), so that host countries, starting with Canada, will reform their guestworker programs. This should be done in the interim by abolishing all major regulatory and administrative obstacles to migrants’ ability to exercise their right to liberty and security, as well as inclusion in society (including access to justice) and capacity to associate for the purpose of collective bargaining.

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DroitsTravailleuse·rsMigrants (DTM) est une organisation non-gouvernementale à but non lucratif oeuvrant sous la forme d'un réseau ouvert mais coordonné de militants pour la défense des droits humains des travailleuses et travailleurs migrants (travailleuses et travailleurs migrants, syndicalistes, chercheurs, journalistes, travailleurs communautaires, analystes institutionnels, représentants parlementaires, etc.).

La mission de DTM est, d'une part, de centraliser et de diffuser le maximum d'information pertinente à la promotion et à la défense, aux niveaux local, national et international, des droits fondamentaux de changer d'employeur, de vivre avec enfant(s) et/ou conjoint et de demander le statut de résident permanent des travailleuses et travailleurs migrants admis à titre de "guestworker" sous autorisation temporaire de travail dans le pays d'accueil.

D'autre part, DTM oeuvre directement auprès des décideurs politiques (si nécessaire au moyen de recours judiciaires visant à faire invalider une ou plusieurs dispositions réglementaires/administratives néo-esclavagistes) - afin que les pays d'accueil, à commencer par le Canada, réforment à moyen terme l'ensemble de leurs programmes de "guestworkers" par l'abolition de tous les obstacles réglementaires et administratifs majeurs, pour les travailleurs migrants "temporaires", à l'exercice du droit à la liberté et à l'intégrité psychologique et physique (y compris l'accès à la justice) et de la liberté d'association.